RDÉE Î.-P.-É. accueille une nouvelle gestionnaire de projets


RDÉE Î.-P.-É. accueille une nouvelle gestionnaire de projets

CHARLOTTETOWN, Î.-P.-É. – le 20 janvier 2011 –RDÉE Île-du-Prince-Édouard Inc., le conseil de développement économique francophone provincial, vient de se doter d’une nouvelle gestionnaire de projets pour mener à terme plusieurs initiatives pour la communauté acadienne et francophone de l’île.

« Nous sommes très contents d’accueillir Isabelle Cormier au sein de l’équipe du RDÉE, » signale le directeur général Francis Thériault. « Ses nombreuses compétences et ses expériences de travail feront d’elle un atout important pour notre organisme de développement économique communautaire. »

Mme Cormier, native du Nouveau-Brunswick, s’est déjà mise à l’œuvre pour aider à coordonner le Banquet des entrepreneurs 2011 et pour finaliser des détails administratifs pour PERCÉ, le programme atlantique de rapatriement de jeunes. D’autres projets s’ajouteront à sa charge au cours des prochains mois.

La nouvelle gestionnaire, qui est bilingue, partagera son temps entre les deux bureaux du RDÉE, soit celui à Charlottetown et celui à Wellington.

« Je suis très heureuse de travailler avec l’équipe dynamique de RDÉE Î.-P.-É. pour le bienfait du développement économique de la communauté acadienne et francophone de l’île, » signale-t-elle. « Il me tarde d’embrasser les projets qui me seront confiés et de me familiariser davantage avec le secteur du développement économique de la communauté. »

À noter que Mme Cormier est à l’île depuis juin dernier; elle et sa famille demeurent présentement à Hunter River. Son plus récent emploi était comme agente touristique communautaire de la Commission du tourisme acadien du Canada atlantique et de l’Association touristique Évangéline. Auparavant, elle fut directrice du Centre d’études acadiennes Anselme-Chiasson et du Musée acadien à l’Université de Moncton de 2007 à 2010, puis directrice de l’Alliance française à Moncton de 2005 à 2007.

Au niveau des études, elle détient deux baccalauréats de l’Université de Moncton, soit en histoire et en information-communication, puis une maîtrise en histoire de l’Université de Poitiers en France.

Leave Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *